3 types de peur, 3 manières de respirer
September 18, 2015 by Vladimir Vasiliev
Traduit par Simon Gauthier
Les peurs peuvent être distinguées selon leur niveau d’intensité. On en distingue trois.
Le premier est celui de la peur personnelle. C’est celle que l’on ressent en l’absence de contact physique. Ce type de peur survient à la suite d’une menace verbale, à la vue d’une agression ou dans une situation potentiellement effrayante. Nous ne pouvons jamais être totalement conscients des véritables causes et de l’ampleur de la peur personnelle. Cette réaction provient d’une image mentale, qui peut être juste, mais qui peut être aussi inappropriée. Cette peur s’accompagne d’une forme d’interruption de la respiration bien particulière : inspiration et expiration irrégulières, difficultés à respirer, impression de suffoquer.
Le deuxième niveau de peur survient lorsque nous sommes sur le point de recevoir un choc physique réel. Face à ce type de menace spécifique et concrète, nous pouvons craindre de ne pas pouvoir nous déplacer librement, de nous faire mal, de nous blesser grièvement ou de ne pas parvenir à respirer correctement. Ce niveau de peur a des répercussions beaucoup plus profondes et beaucoup plus longues sur la respiration.
Le troisième niveau de peur est celui qui survient lorsque nous faisons face à un assaillant armé. La menace peut provenir d’un couteau, d’un bâton, d’une chaîne, d’une arme à feu ou de tout objet dont l’attaquant compte se servir pour nous infliger des dommages mortels. Cette peur se déclenche lorsque notre vie est en danger. Elle peut se matérialiser dans certaines parties de notre corps sans que nous en ayons conscience. L’irrégularité de la respiration et les apnées qui en résultent peuvent avoir des répercussions considérables sur notre capacité à réagir, et nous plonger dans un état de panique ou de paralysie totale.
Ces peurs peuvent se combiner de diverses manières ou survenir toutes en même temps dans certaines situations. L’intensité de la réaction n’est jamais la même. C’est pourquoi la manière d’y faire face doit être différente. Il existe des techniques de respiration optimale qui permettent de faire face à chaque situation.
Les peurs peuvent être distinguées selon leur niveau d’intensité. On en distingue trois.
Le premier est celui de la peur personnelle. C’est celle que l’on ressent en l’absence de contact physique. Ce type de peur survient à la suite d’une menace verbale, à la vue d’une agression ou dans une situation potentiellement effrayante. Nous ne pouvons jamais être totalement conscients des véritables causes et de l’ampleur de la peur personnelle. Cette réaction provient d’une image mentale, qui peut être juste, mais qui peut être aussi inappropriée. Cette peur s’accompagne d’une forme d’interruption de la respiration bien particulière : inspiration et expiration irrégulières, difficultés à respirer, impression de suffoquer.
Le deuxième niveau de peur survient lorsque nous sommes sur le point de recevoir un choc physique réel. Face à ce type de menace spécifique et concrète, nous pouvons craindre de ne pas pouvoir nous déplacer librement, de nous faire mal, de nous blesser grièvement ou de ne pas parvenir à respirer correctement. Ce niveau de peur a des répercussions beaucoup plus profondes et beaucoup plus longues sur la respiration.
Le troisième niveau de peur est celui qui survient lorsque nous faisons face à un assaillant armé. La menace peut provenir d’un couteau, d’un bâton, d’une chaîne, d’une arme à feu ou de tout objet dont l’attaquant compte se servir pour nous infliger des dommages mortels. Cette peur se déclenche lorsque notre vie est en danger. Elle peut se matérialiser dans certaines parties de notre corps sans que nous en ayons conscience. L’irrégularité de la respiration et les apnées qui en résultent peuvent avoir des répercussions considérables sur notre capacité à réagir, et nous plonger dans un état de panique ou de paralysie totale.
Ces peurs peuvent se combiner de diverses manières ou survenir toutes en même temps dans certaines situations. L’intensité de la réaction n’est jamais la même. C’est pourquoi la manière d’y faire face doit être différente. Il existe des techniques de respiration optimale qui permettent de faire face à chaque situation.